Userday 2025 Exposés

Userday 2025 — Rétrospective

Vous trou­verez ici toutes les présen­ta­tions de nos con­férenciers, que nous avons exclu­sive­ment réservées pour
que vous avez rassem­blés en tant que participants :

Accueil

Gui­do Markow­itsch, Con­sul­tant senior, VR

Présen­ta­tion

Où se dirige la WMC

Peter Nessen­sohn, con­seil d’administration

Présen­ta­tion

L’avenir de BrokerStar

Thomas Bür­ki, directeur général

Présen­ta­tion

BrokerStar.AI Intel­li­gence artificielle

Julius Jan­da, prési­dent du con­seil d’administration

Présen­ta­tion

Pro­tec­tion con­tre les cyberattaques

Roger Burch, spé­cial­iste en sécu­rité, Selu­tion AG

Présen­ta­tion

Stratégie de contenu

Bin­ci Heeb, rédac­trice de thebrokernews

Présen­ta­tion

Des nou­velles du SIBA

Markus Lehmann, prési­dent de la SIBA

Présen­ta­tion

Inté­gra­tion des assureurs directs

Hugo Pfis­ter, COO Auto­mate Insur­ance AG

Présen­ta­tion

Mise à jour et nou­veautés d’EcoHub

Mar­cel Schradt, CEO d’E­co­Hub AG

Présen­ta­tion

Ges­tion des risques avec riskAware

Mar­co La Bel­la, La Bel­la Consulting

Présen­ta­tion

L’équipe du WMC remer­cie tous ses invités, con­férenciers et amis pour leur participation.

Et voici pour vous quelques…

Reporting dans BrokerStar

Le terme Report­ing englobe tous les types d’é­val­u­a­tions, qu’il s’agisse de listes ou de graphiques, et quel que soit leur for­mat.

Dans l’ar­ti­cle suiv­ant, nous expliquons com­ment le sys­tème de report­ing est struc­turé dans Bro­ker­Star.. Nous exam­inons les aspects tech­niques et les aspects liés aux licences et présen­tons les dif­férentes possibilités.

1. Le sys­tème de report­ing de Bro­ker­Star
2. rap­ports stan­dard, indi­vidu­els, ad hoc
3. For­mats de fichiers
4. Ser­vices

 

1. Le sys­tème de report­ing de BrokerStar

Bro­ker­Star utilise un out­il dit de Busi­ness Intel­li­gence (BI), TIBCO Jasper­soft. Cette tech­nolo­gie très répan­due per­met de sélec­tion­ner et d’af­fich­er toutes les infor­ma­tions de la base de don­nées. Les don­nées peu­vent être recom­posées et mis­es en rela­tion à volon­té. En out­re, les don­nées peu­vent être com­binées avec des infor­ma­tions provenant d’autres sources de don­nées externes.
 
2. rap­ports stan­dard, indi­vidu­els, ad hoc
Du point de vue de la licence, Bro­ker­Star dis­tingue dif­férentes catégories :
Rap­ports stan­dard sont des éval­u­a­tions sta­tiques, c’est-à-dire des listes dif­férentes, qui sont livrées en stan­dard à tous les clients dans le cadre de l’é­ten­due de la livrai­son dans Bro­ker­Star. Ces éval­u­a­tions pour­ront être per­son­nal­isées graphique­ment pour le courtier à par­tir de 2022.
Rap­ports indi­vidu­els sont des éval­u­a­tions indi­vidu­elles, spé­ciale­ment conçues pour le courtier à la demande du client. Elles ne sont pas livrées comme stan­dard à d’autres courtiers et sont payantes. Les rap­ports dynamiques en font égale­ment partie.
Rap­ports ad hoc sont des éval­u­a­tions qui sont générale­ment créées par le courtier lui-même. Cela néces­site un cer­tain savoir-faire com­pa­ra­ble à la créa­tion de tableaux Excel plus com­plex­es. Bien enten­du, des rap­ports ad hoc peu­vent égale­ment être étab­lis par WMC. Un autre ser­vice con­siste en la trans­mis­sion de con­nais­sances, par exem­ple sous forme de for­ma­tion. Comme TIBCO Jasper­soft est un pro­duit stan­dard, il existe dif­férentes pos­si­bil­ités de for­ma­tion sur Inter­net ou par des prestataires tiers.
 
3. For­mats de fichiers

Les rap­ports de Bro­ker­Star peu­vent en principe être édités dans tous les for­mats de fichiers disponibles. Les plus impor­tants sont le PDF/A (PDF légale­ment archiv­able et non mod­i­fi­able), Excel, Word, Pow­er­point ou HTML. Les rap­ports stan­dard sont en général édités au for­mat PDF. Mais il existe égale­ment des expor­ta­tions Excel génériques pour un traite­ment ultérieur pro­pre. Pour la sor­tie au for­mat Word, un détour par une con­ver­sion automa­tique du PDF en un fichi­er Word est pro­posé en option.

D’un point de vue tech­nique, TIBCO Jasper­soft pro­pose cinq niveaux dif­férents (lev­els):
- Niveau 1 : rap­ports sta­tiques util­isant une bib­lio­thèque de rap­ports intégrée
- Niveau 2 : rap­ports guidés et dynamiques avec inter­ac­tiv­ité sim­ple, plan­i­fi­ca­tion, sécu­rité et dis­tri­b­u­tion automatique.
- Niveau 3 : rap­ports et tableaux de bord haute­ment inter­ac­t­ifs en util­isant le serveur de rapports
- Niveau 4 : Rap­ports ad hoc en libre-ser­vice via un serveur BI
- Niveau 5 : Explo­ration de don­nées en libre-ser­vice par rap­port à un Data Mart en util­isant un serveur de BI
 

4. Ser­vice
Inclus dans l’abon­nement :
- Tous les rap­ports standard

Ser­vices sup­plé­men­taires payants
- Adap­ta­tions indi­vidu­elles aux rap­ports stan­dard -> Rap­ports indi­vidu­els
- Rap­ports indi­vidu­els. Tableaux de bord, cock­pits, Rap­ports ad hoc
- For­ma­tion

Licences
- Tous les rap­ports à par­tir du niveau 2 néces­si­tent la licence du mod­ule MIS

Jaspersoft 

Analyse avec BI 

Cinq niveaux 

Sécurité des données, protection des données (nDSG)

L’im­por­tance de la sécu­rité et de la pro­tec­tion des don­nées prend de plus en plus d’im­por­tance. Une cyber-attaque ou une vio­la­tion de don­nées ont générale­ment de graves conséquences.

Il est donc plus impor­tant que jamais de pro­téger les don­nées, de les sauve­g­arder et de les con­serv­er en lieu sûr. Sur le site 1er sep­tem­bre 2023 le nou­veau Loi suisse sur la pro­tec­tion des don­nées (nLPD) entre en vigueur, ce qui entraîne égale­ment des adap­ta­tions au niveau de la ges­tion des don­nées. Bro­ker­Star et Bro­ker­Web y sont préparés.

Sécu­rité des don­nées s’oc­cupe de la pro­tec­tion générale des don­nées et des doc­u­ments. Ain­si, la sauve­g­arde sous toutes ses formes relève de la notion de sécu­rité des don­nées, au même titre que les don­nées à car­ac­tère per­son­nel. Le site la pro­tec­tion des don­nées en revanche, se réfère exclu­sive­ment — du moins en ce qui con­cerne les pre­scrip­tions légales — à l’en­reg­istrement et à l’u­til­i­sa­tion de don­nées personnelles.

La sécu­rité et la pro­tec­tion des don­nées ont donc pour objec­tif de pro­téger les don­nées de toute nature con­tre les men­aces, les manip­u­la­tions, les accès non autorisés ou les pris­es de con­nais­sance. Pour ce faire, des mesures analogiques et numériques peu­vent être pris­es. Il s’ag­it tout d’abord de mesures tech­niques et organ­i­sa­tion­nelles, qui sont égale­ment util­isées dans le con­texte de la pro­tec­tion des données.

Dans le domaine numérique, l’im­plé­men­ta­tion de solu­tions de sécu­rité infor­ma­tique, sous forme de scan­ners de virus, de pare-feu ou autres, con­tribue à la sécu­rité des don­nées. Les mesures de nature physique sont en revanche des con­trôles d’ac­cès, des armoires de classe­ment ignifuges ou des cof­fres-forts pour les doc­u­ments sen­si­bles et con­fi­den­tiels. La sauve­g­arde des don­nées, par exem­ple la créa­tion de copies de sécu­rité sur un sup­port de stock­age séparé, est égale­ment essen­tielle. Une infra­struc­ture réseau solide et des mis­es à jour régulières sont les con­di­tions de base pour attein­dre les objec­tifs de sécu­rité des don­nées. En ce qui con­cerne la pro­tec­tion des don­nées, il s’ag­it essen­tielle­ment de savoir com­ment les don­nées per­son­nelles sont util­isées et enregistrées.

Il con­vient donc de pren­dre des mesures organ­i­sa­tion­nelles et de poli­tique du per­son­nel afin de garan­tir un niveau de sécu­rité élevé dans l’en­tre­prise. La for­ma­tion et le per­fec­tion­nement des col­lab­o­ra­teurs, mais aus­si le recours à des spé­cial­istes tels que les respon­s­ables de la sécu­rité infor­ma­tique et les délégués à la pro­tec­tion des don­nées con­tribuent à la sécu­rité des don­nées et sont par­fois oblig­a­toires pour des raisons de con­for­mité. Les respon­s­ables de la sécu­rité infor­ma­tique et de la pro­tec­tion des don­nées se con­sacrent dans votre entre­prise à l’analyse des lacunes poten­tielles en matière de sécu­rité et à l’élab­o­ra­tion de mesures appro­priées pour attein­dre l’ob­jec­tif de sécu­rité des données.

Ces notions sont donc non seule­ment étroite­ment liées, mais elles s’in­flu­en­cent mutuelle­ment. Ain­si, sans mesures de pro­tec­tion des don­nées, il n’est pas pos­si­ble d’at­tein­dre une sécu­rité totale des don­nées, car les don­nées per­son­nelles ne seraient alors pas suff­isam­ment pro­tégées. En revanche, des mesures com­plètes de sécu­rité des don­nées sont la con­di­tion préal­able à une pro­tec­tion effi­cace des don­nées con­for­mé­ment aux bases légales et aux meilleures pratiques.

Les aspects suiv­ants de la nou­velle loi sur la pro­tec­tion des don­nées sont importants :

  • Gardez une vue d’ensem­ble des don­nées qui sont traitées exacte­ment et dans quel but. Vous pou­vez à tout moment fournir des infor­ma­tions à ce sujet et vous n’au­rez pas de mau­vais­es surprises.
  • Exam­inez de manière cri­tique la col­lecte des don­nées per­son­nelles. Qu’est-ce qui est effec­tive­ment néces­saire pour vous ?
  • Réduisez au min­i­mum les critères d’in­ter­ro­ga­tion de vos clients.
  • Lim­itez l’ac­cès interne aux don­nées dans l’en­tre­prise à un nom­bre de per­son­nes aus­si restreint que possible.
  • Exam­inez en détail votre déc­la­ra­tion de con­fi­den­tial­ité et adaptez-la si nécessaire.
  • Con­trôler et amélior­er les préréglages tech­niques et la convivialité.
  • Formez vos col­lab­o­ra­teurs afin de les sen­si­bilis­er à l’im­por­tance de ce sujet.

Les détails de la nou­velle loi sur la pro­tec­tion des don­nées se trou­vent ici  et sur la site offi­ciel de la Confédération

Sources, Profi Engi­neer­ing, 2021, PME Numéri­sa­tion 2022, Parte­naires de pro­tec­tion des don­nées 2022, www.admin.ch

Mod­èles et doc­u­ments   (Sources : SIBA, IG B2B, WMC)

Traitement des données 

Utilisation du portail 

Courrier sécurisé 

IG B2B nDSG 

3CX Téléphonie de première classe au prix PME

La solu­tion com­plète de télé­phonie
Vous avez besoin d’une nou­velle instal­la­tion télé­phonique ? WMC vous pro­pose une solu­tion com­plète d’un seul ten­ant. En plus du con­fort et d’une grande fia­bil­ité, vous béné­fi­ciez d’une réduc­tion con­sid­érable des frais de télé­phone. La col­lab­o­ra­tion avec sip­call et WMC existe déjà depuis env­i­ron 20 ans. En tant que parte­naire expéri­men­té de 3CX, WMC est l’in­ter­locu­teur pour tout ce qui con­cerne le sys­tème télé­phonique virtuel (PBX).

Les trois com­posantes de la solution

1. la voix sur IP (VoIP)

Depuis 2019, la télé­phonie actuelle en Suisse passe tou­jours par Inter­net. De nou­velles méth­odes per­me­t­tent de détecter s’il s’ag­it de con­ver­sa­tions ou de don­nées. Dans la plu­part des cas, toutes les com­mu­ni­ca­tions sont trans­mis­es via le même raccordement.

2. Com­put­er Inte­grat­ed Telephony

Tout comme les don­nées infor­ma­tiques peu­vent con­tenir un lien vers une page web ou une adresse e‑mail, des liens directs vers un numéro de télé­phone sont égale­ment disponibles. En cli­quant dessus, on se con­necte directe­ment au réseau télé­phonique basé sur la VoIP ou via une instal­la­tion télé­phonique. Celui-ci peut se trou­ver n’im­porte où sur Internet.

3. La solu­tion logi­cielle CTI 

Les pro­grammes de WMC comme Bro­ker­Star ou iOf­fice intè­grent la télé­phonie. Comme lien, il suf­fit d’un sys­tème télé­phonique com­pat­i­ble. La con­nex­ion à un 3CX est disponible par défaut. Cette pos­si­bil­ité de con­nex­ion est égale­ment recom­mandée pour la télé­phonie d’équipe. Des inter­faces avec d’autres instal­la­tions peu­vent être créées si nécessaire.

      Ser­vice inclus!

  • Enreg­istrement des exi­gences du client
  • Élab­o­ra­tion d’une propo­si­tion globale
  • Résil­i­a­tion de l’an­cien four­nisseur d’accès
  • Con­clu­sion de l’abon­nement Fournisseur
  • Porta­bil­ité des numéros de téléphone
  • Licence 3CX
  • Con­fig­ur­er l’hébergement
  • Four­ni­ture de télé­phones et d’oreillettes *.
  • Con­ver­sion à la date de référence sans interruption
  • Annonces télé­phoniques professionnelles *
  • Con­nex­ion inter­net bon marché *                   *en option sur demande

Téléphoner avec BrokerStar / iOffice

La solu­tion com­plète
En plus du logi­ciel de WMC, vous avez besoin, en tant que client, d’un rac­corde­ment télé­phonique et d’une instal­la­tion télé­phonique 3CX. Celui-ci peut être instal­lé chez vous ou chez un four­nisseur de ser­vices télé­phoniques. WMC pro­pose la solu­tion com­plète d’un seul ten­ant. Out­re le con­fort et la grande fia­bil­ité, vous béné­fi­ciez d’une réduc­tion con­sid­érable des frais de télé­phone. La col­lab­o­ra­tion avec sip­call et le WMC existe depuis env­i­ron 20 ans.

Télé­phon­er avec Bro­ker­Star et iOf­fice est disponible.
Il ne suf­fit pas de com­pos­er un numéro de télé­phone dans le pro­gramme pour créer automa­tique­ment la con­nex­ion. En cas d’ap­pel entrant, le sys­tème recon­naît égale­ment un numéro enreg­istré et ouvre automa­tique­ment une nou­velle fenêtre client. Pour l’in­stant, cette solu­tion fonc­tionne exclu­sive­ment avec le sys­tème télé­phonique 3CX, très répan­du. Son faible coût fait de cette option utile un point fort.

 

Les trois com­posantes de la solution

1. la voix sur IP (VoIP)

En Suisse, la télé­phonie actuelle passera exclu­sive­ment par Inter­net à par­tir de 2019. De nou­velles méth­odes per­me­t­tent de recon­naître s’il s’ag­it de con­ver­sa­tions ou de don­nées. Dans la plu­part des cas, toutes les com­mu­ni­ca­tions sont trans­mis­es via le même raccordement.

2. Com­put­er Inte­grat­ed Telephony

Tout comme les don­nées infor­ma­tiques peu­vent con­tenir un lien vers une page web ou une adresse e‑mail, des liens directs vers un numéro de télé­phone sont égale­ment disponibles. En cli­quant dessus, on se con­necte directe­ment au réseau télé­phonique basé sur la VoIP ou via une instal­la­tion télé­phonique. Celui-ci peut se trou­ver n’im­porte où sur Internet.

3. La solu­tion logi­cielle CTI 

Les pro­grammes de WMC comme Bro­ker­Star ou iOf­fice ont inté­gré la télé­phonie. Comme lien, il suf­fit d’un sys­tème télé­phonique com­pat­i­ble. La con­nex­ion à un 3CX est disponible par défaut. Cette pos­si­bil­ité de con­nex­ion est égale­ment recom­mandée pour la télé­phonie d’équipe. Des inter­faces avec d’autres instal­la­tions peu­vent être créées si nécessaire.

Que signifie réellement la digitalisation

La numéri­sa­tion est le terme générique désig­nant la trans­for­ma­tion numérique de la société et de l’é­conomie. Ca désigne le pas­sage du 20e siè­cle, mar­qué par les tech­nolo­gies analogiques, à l’ère de la con­nais­sance et les inno­va­tions numériques

La numéri­sa­tion est le développe­ment social et économique le plus impor­tant de notre époque. Mais que sig­ni­fient des ter­mes tels que: change­ment numérique, trans­for­ma­tion numérique ou dis­rup­tion numérique?


De quelles com­pé­tences numériques aurons-nous besoin à l’avenir ? Que sont les mod­èles com­mer­ci­aux numériques ?

Les entre­pris­es et les organ­i­sa­tions pro­gressent à des rythmes dif­férents dans la trans­for­ma­tion numérique. Alors que les unes se con­tentent de numéris­er les proces­sus com­mer­ci­aux exis­tants, les autres dévelop­pent de manière proac­tive des con­cepts et des mod­èles com­mer­ci­aux numériques. Le fac­teur décisif pour le suc­cès de la numéri­sa­tion est ce que l’on appelle le “degré de matu­rité numérique”. Il s’ag­it d’un instru­ment à 360 degrés basé sur la sci­ence, qui per­met d’ex­am­in­er tous les fac­teurs impor­tants pour le changement.

La numéri­sa­tion expliquée brièvement

Au cours des 20 dernières années env­i­ron, dif­férentes tech­nolo­gies numériques (Inter­net mobile, intel­li­gence arti­fi­cielle, Inter­net des objets, etc.) se sont dévelop­pées de manière dras­tique et sont passées d’une util­i­sa­tion experte à une util­i­sa­tion quo­ti­di­enne.  De la même manière que l’in­no­va­tion de la machine à vapeur a trans­for­mé la société, le change­ment numérique a égale­ment un impact.

La numéri­sa­tion est guidée par la tech­nolo­gie. Des inno­va­tions numériques voient le jour sur la base des tech­nolo­gies numériques dévelop­pées : De nou­veaux cas d’ap­pli­ca­tion poussés par des entre­pris­es exis­tantes et des start-ups avec du cap­i­tal-risque. Cela con­duit à des vitesses dif­férentes. Alors que l’ad­min­is­tra­tion publique, par exem­ple, n’ac­cepte sou­vent que des doc­u­ments papi­er et tra­vaille avec des dossiers, les marchés évolu­ent beau­coup plus rapi­de­ment. Entre-temps, tous les secteurs sont con­cernés par la numéri­sa­tion. La numéri­sa­tion influ­ence égale­ment l’avenir des secteurs de la finance et de l’as­sur­ance. De nou­velles formes ne sont pos­si­bles que grâce aux tech­nolo­gies de la numéri­sa­tion, qui con­tin­ueront à se répan­dre à l’avenir.

La numéri­sa­tion change l’avenir des pro­fes­sions tra­di­tion­nelles. Les médecins seront à l’avenir de plus en plus soutenus par des appli­ca­tions de san­té en ligne, notam­ment dans le domaine du diag­nos­tic. Les ser­vices dans le domaine juridique (aujour­d’hui prin­ci­pale­ment four­nis par les avo­cats) seront com­plétés ou rem­placés par des ser­vices numériques issus du domaine des Legal Tech. Et le terme Insuretech est déjà bien établi.

À l’avenir, la numéri­sa­tion imposera de nou­velles exi­gences aux écoles, à la for­ma­tion ini­tiale con­tin­ue dans tous les domaines. Il incombe à l’é­conomie, aux asso­ci­a­tions et à la poli­tique de pré­par­er la société aux change­ments à venir.

Numéri­sa­tion et entreprise

La numéri­sa­tion a des con­séquences pour les entre­pris­es de toutes tailles. D’une part, les entre­pris­es utilisent les tech­nolo­gies numériques pour numéris­er leurs proces­sus com­mer­ci­aux, c’est-à-dire pour opti­miser et innover en matière de proces­sus. Cela est égale­ment poussé par la trans­for­ma­tion numérique et réal­isé en par­tie par des start-ups. En ce qui con­cerne la numéri­sa­tion, le défi pour les entre­pris­es con­siste à iden­ti­fi­er les nou­veaux besoins des clients, qui appa­rais­sent en rai­son de la dif­fu­sion crois­sante des ser­vices et des appli­ca­tions numériques.

De plus, de nou­veaux groupes cibles sont apparus avec les “nat­ifs numériques”. Pour aug­menter l’ori­en­ta­tion client vers ces groupes cibles, les entre­pris­es ont sou­vent besoin d’autres straté­gies de mar­ket­ing et de vente. L’ac­tion doit être adap­tée pour réus­sir dans le change­ment numérique. Les entre­pris­es doivent se pos­er la ques­tion suiv­ante : Com­ment voulons-nous attein­dre les clients demain ? Quel rôle jouent les nou­velles ten­dances ? Com­ment répon­dre aux besoins de plus en plus indi­vidu­els de nos clients ?

Développe­ment de proces­sus et de procé­dures numériques : Aban­don des dossiers papi­er par l’in­tro­duc­tion de proces­sus et de procé­dures dans l’en­tre­prise, qui doivent être repen­sés de manière par­fois rad­i­cale par la numéri­sa­tion, comme le traite­ment des don­nées générées au sein de l’en­tre­prise, en rap­port avec les activ­ités d’une entre­prise et chez les clients. Les don­nées per­me­t­tent de dévelop­per de nou­veaux ser­vices et mod­èles com­mer­ci­aux. La numéri­sa­tion nous met tous au défi de chang­er et de nous adapter en per­ma­nence. Les avan­tages con­cur­ren­tiels du passé ne sont plus que lim­ités. Pour ce faire, les entre­pris­es doivent accélér­er la trans­for­ma­tion numérique au sein de l’en­tre­prise et aug­menter leur “dig­i­tal readiness”.

login sécurisé

L’au­then­tifi­ca­tion mul­ti-fac­teurs est une procé­dure de sécu­rité dans laque­lle un util­isa­teur four­nit deux car­ac­téris­tiques dif­férentes pour s’i­den­ti­fi­er. L’une des car­ac­téris­tiques est générale­ment un jeton physique, comme un code de sécu­rité ou un SMS
On par­le volon­tiers de quelque chose que “l’on a” et de quelque chose que “l’on sait”. Un exem­ple typ­ique d’au­then­tifi­ca­tion à deux fac­teurs est un code QR, tan­dis que le PIN (numéro d’i­den­ti­fi­ca­tion per­son­nel) con­stitue l’in­for­ma­tion asso­ciée. La com­bi­nai­son des deux rend plus dif­fi­cile l’ac­cès aux don­nées de l’u­til­isa­teur par une per­son­ne étrangère.

Authen­tifi­ca­tion mul­ti-fac­teurs pour des con­nex­ions plus sécurisées

L’au­then­tifi­ca­tion mul­ti-fac­teurs cor­re­spond à l’au­then­tifi­ca­tion à deux fac­teurs, mais dif­férents jetons peu­vent être util­isés. L’u­til­isa­teur peut ain­si choisir la méth­ode qui lui con­vient le mieux.  Les proces­sus de sécu­rité mod­ernes se com­posent sou­vent d’un mot de passe et de don­nées bio­métriques telles que les empreintes dig­i­tales ou la recon­nais­sance vocale.

Un attaquant peut par exem­ple réus­sir à cra­quer un seul fac­teur d’au­then­tifi­ca­tion. Une recherche appro­fondie dans l’en­vi­ron­nement de la vic­time peut par exem­ple con­duire à la décou­verte d’un badge d’em­ployé ou d’un iden­ti­fi­ant d’u­til­isa­teur et de son mot de passe qui ont été jetés à la poubelle. Ou encore, un disque dur jeté par nég­li­gence con­tient une base de don­nées de mots de passe. Mais si d’autres fac­teurs sont néces­saires pour l’au­then­tifi­ca­tion, l’at­taquant est con­fron­té à au moins un autre obsta­cle qu’il doit contourner.

La majorité des attaques actuelles se font par le biais de con­nex­ions Inter­net. L’au­then­tifi­ca­tion mul­ti-fac­teurs peut ren­dre ces attaques à dis­tance beau­coup moins dan­gereuses, car le sim­ple fait de cra­quer le mot de passe ne suf­fit plus pour obtenir l’ac­cès. En effet, il est très peu prob­a­ble que l’at­taquant entre égale­ment en pos­ses­sion de l’ap­pareil physique ou du code asso­cié au compte de l’u­til­isa­teur. Chaque fac­teur d’au­then­tifi­ca­tion sup­plé­men­taire rend donc un sys­tème plus sûr. Cela s’ex­plique par le fait que les dif­férents fac­teurs sont indépen­dants les uns des autres. Si l’un des fac­teurs est com­pro­mis, les autres ne le sont pas.

Bro­ker­Star et iOf­fice by WMC utilisent une authen­tifi­ca­tion mul­ti-fac­teur à par­tir de la ver­sion 2.4.

Authen­tifi­ca­tion multi-facteurs
Authen­tifi­ca­tion multi-facteurs