Doublement des cyberattaques

L’Of­fice fédéral de la cyber­sécu­rité (BACS) donne des infor­ma­tions actu­al­isées :
(Source com­mu­niqué BACS du 6.5.2024)

Au deux­ième semes­tre 2023, deux fois plus de cyber­in­ci­dents ont été sig­nalés à l’Of­fice fédéral de la cyber­sécu­rité (OFCOM) que durant la même péri­ode de l’an­née précé­dente, soit plus de 30 000. L’ori­en­ta­tion stratégique du nou­v­el office fédéral repose sur qua­tre piliers afin de ren­forcer la cyber­sécu­rité pour la pop­u­la­tion, l’é­conomie et les autorités, compte tenu de l’aug­men­ta­tion des men­aces et de l’émer­gence de la fraude guidée par l’IA.

L’OFPC revient sur ses pre­miers mois en tant que nou­v­el office fédéral. Son directeur, Flo­ri­an Schütz, a dressé un pre­mier bilan dans le cadre d’une dis­cus­sion tech­nique le 6 mai. Le trans­fert du Cen­tre nation­al de cyber­sécu­rité (NCSC) vers un office fédéral au 1er jan­vi­er 2024 a mar­qué une étape impor­tante pour le ren­force­ment de la cyber­sécu­rité suisse. Les tâch­es pri­maires du BACS con­sis­tent tou­jours à ren­forcer la sécu­rité de la Suisse dans le cybere­space. Pour ce faire, il informe et sen­si­bilise le pub­lic aux cyber­me­n­aces et aux cyber­at­taques. En out­re, le BACS fait office de point de con­tact pour l’an­nonce de cyber­in­ci­dents, il sou­tient surtout les exploitants d’in­fra­struc­tures cri­tiques dans la ges­tion de ces inci­dents. En out­re, le BACS four­nit des analy­ses tech­niques pour l’é­val­u­a­tion et la défense con­tre les cyber­in­ci­dents et les cyber­me­n­aces. Il iden­ti­fie et cor­rige les points faibles de la pro­tec­tion de la Suisse con­tre les cyber­me­n­aces afin de ren­forcer la résilience du pays.

La mis­sion prin­ci­pale du BACS est de ren­forcer la cyber­sécu­rité des infra­struc­tures cri­tiques, de l’é­conomie, de l’en­seigne­ment, de la pop­u­la­tion et des autorités en coor­don­nant la mise en œuvre de la stratégie cyber nationale (NCS). La stratégie qu’il présente aujour­d’hui mon­tre com­ment cette mis­sion essen­tielle est rem­plie. L’ob­jec­tif du BACS est d’amélior­er la cyber­sécu­rité en col­lab­o­ra­tion avec tous les acteurs con­cernés. Pour ce faire, il ori­ente ses presta­tions selon qua­tre piliers stratégiques : Ren­dre les cyber­me­n­aces com­préhen­si­bles, met­tre à dis­po­si­tion des moyens pour prévenir les cyber­at­taques, réduire les dom­mages résul­tant des cyber­in­ci­dents et aug­menter la sécu­rité des pro­duits et ser­vices numériques.

Le nom­bre de sig­nale­ments de cyber­in­ci­dents a presque dou­blé au deux­ième semes­tre 2023, avec 30 331 inci­dents sig­nalés, par rap­port à la même péri­ode de l’an­née précé­dente, avec 16 951 sig­nale­ments. Cette aug­men­ta­tion est prin­ci­pale­ment due à des offres d’em­ploi fraud­uleuses et à des appels sup­posés de la police. Par­mi les inci­dents les plus sig­nalés fig­u­raient les ten­ta­tives d’e­scro­querie, les caté­gories ’escro­querie au PDG’ et «escro­querie à la manip­u­la­tion de fac­tures» étant par­ti­c­ulière­ment remar­quables. Avec 5536 annonces, les annonces de phish­ing ont dou­blé (péri­ode de l’an­née précé­dente : 2179). Il con­vient de men­tion­ner en par­ti­c­uli­er le «chain phish­ing» : via des boîtes aux let­tres élec­tron­iques piratées, les hameçon­neurs envoient des cour­riels à toutes les adress­es enreg­istrées dans cette boîte aux let­tres. Comme l’ex­pédi­teur devrait être con­nu des des­ti­nataires, il est fort prob­a­ble que ceux-ci tombent dans le piège du phish­ing. Ensuite, tous les con­tacts présents sur le compte de mes­sagerie hameçon­né sont à leur tour con­tac­tés via ce compte.

De plus en plus de rap­ports ont égale­ment été reçus con­cer­nant des ten­ta­tives d’e­scro­querie util­isant l’IA. Les cyber­crim­inels utilisent des images générées par l’IA pour des ten­ta­tives de sex­tor­sion, se font pass­er pour des per­son­nal­ités célèbres au télé­phone ou réalisent des escro­queries à l’in­vestisse­ment. Bien que le nom­bre de sig­nale­ments dans ce domaine soit encore rel­a­tive­ment faible, il s’ag­it, selon les esti­ma­tions du BACS, des pre­mières ten­ta­tives des cyber­crim­inels d’ex­plor­er les pos­si­bil­ités d’u­til­i­sa­tion de l’IA pour de futures cyberattaques.

Forum sur la sécu­rité des courtiers
29 août 2024

Pour les courtiers et les clients

Chaque entre­prise devrait accorder une grande atten­tion à sa sécu­rité, qu’elle soit courtier ou pre­neur d’as­sur­ance. Les four­nisseurs de sécu­rité cer­ti­fiés appor­tent ici un sou­tien pré­cieux, de l’au­dit de sécu­rité au piratage éthique en pas­sant par la sur­veil­lance 7 x 24 heures.

Selu­tion AG est l’un des nom­breux four­nisseurs de sécu­rité. WMC col­la­bore avec suc­cès depuis plusieurs années déjà avec ces spécialistes.

Vous trou­verez ici quelques infor­ma­tions sur les ser­vices ou vous pou­vez con­tac­ter roger.burch@selution.ch

Inscription au Security Forum 24

Courtier Forum sur la sécu­rité 24
29 août 2024

Inscrip­tion    pro­longé jusqu’au 26 août 2024


Je par­ticipe volon­tiers à l’événe­ment sur place.
(Veuillez rem­plir une inscrip­tion séparée pour chaque participant)

Date : jeu­di 29 août 2024. 11.00–16.30 h
Lieu : Inno­va­tion Hub, by Sel­moni
               Alio­th­strasse 4, 4142 München­stein BL 

               (places de park­ing disponibles et trans­ports publics)

Mes coor­don­nées :

    com­pli­ant

     

    en toute sécurité

     

    numérique

    Brokerweb V‑3

    Un por­tail client pour les entre­pris­es et les particuliers

    Envoyez les fac­tures de primes et autres doc­u­ments de manière sim­ple, élec­tron­ique et sécurisée.

    Bro­ker­web est un por­tail client sim­i­laire à l’e-bank­ing. Il four­nit au client, à tout moment et de manière actu­al­isée, toutes les infor­ma­tions impor­tantes, met à dis­po­si­tion des doc­u­ments et pro­pose dif­férents ser­vices tels que deman­des de ren­seigne­ments, déc­la­ra­tions de sin­istre, etc. Con­traire­ment à l’échange d’e-mails, l’échange de don­nées et de doc­u­ments est sécurisé et répond aux dis­po­si­tions actuelles de la pro­tec­tion des données.

    Out­re ces car­ac­téris­tiques tech­niques, l’in­di­vid­u­al­ité du courtier et donc la fidéli­sa­tion de la clien­tèle ont égale­ment été ren­for­cées. Pour ce faire, le Bro­ker­Web peut être con­fig­uré à dif­férents niveaux. Une prise de con­tact rapi­de avec le con­seiller com­pé­tent est tout aus­si impor­tante qu’une manip­u­la­tion sim­ple pour le client. Dif­férents man­dants peu­vent être représen­tés dans Bro­ker­Web by WMC. Il est en out­re pos­si­ble d’at­tribuer dif­férents droits à dif­férentes per­son­nes. Depuis le print­emps 2024, avec fonc­tion de chat.

    Le por­tail est respon­sive et donc util­is­able sur tous les ter­minaux tels que PC, Mac, tablette ou smart­phone. Sa sim­plic­ité d’u­til­i­sa­tion en fait un out­il pra­tique pour les clients pro­fes­sion­nels, mais aus­si pour les par­ti­c­uliers, lorsqu’il s’ag­it d’as­sur­ances et de ser­vices de courtage. Il est égale­ment très impor­tant que les exi­gences de la nou­velle loi sur la pro­tec­tion des don­nées (nLPD), qui est entrée en vigueur le 1er sep­tem­bre 2023, soient remplies.

    Con­nex­ion : demo-fr
    Mot de passe : demo-fr

     
     
    Pages d’ex­em­ple  (cli­quer pour agrandir)

    Car­ac­téris­tiques

    la pro­tec­tion des don­nées
    Les exi­gences de la nLPD sont remplies.

    Page d’ac­cueil    (fig­ure 1)
    – Nav­i­ga­tion prin­ci­pale
    – Sélec­tion rapi­de con­fig­urable
    – Coor­don­nées du con­seiller
    – Infor­ma­tions du courtier
    – Paramètres de pro­fil utilisateur

    Aperçu des polices    (fig­ure 2)
    – Glob­ale­ment ou par branche
    – Recherche, sélec­tions
    – Imprimer
    – Doc­u­ments
    – Adresse de saut vers les détails de la police
    – Adresse de saut pour les sin­istres
    – Adresse de saut vers d’autres fichiers

    Détails des polices    (fig­ure 3)
    – Toutes les infor­ma­tions sur la police
    – doc­u­ments inclus
    – Aperçu des sin­istres
    – Aperçu des fac­tures
    – Aperçu des doc­u­ments, fichiers

    …et bien d’autres fonctions

    Pour que la numérisation soit réussie…

    Pour que la numéri­sa­tion fonc­tionne, il faut une inter­ac­tion sans faille de nom­breux acteurs tels que l’or­gan­isme de nor­mal­i­sa­tion (IG B2B), les four­nisseurs de plate­formes (Eco­Hub, Sobra­do), les assureurs, les courtiers, les pre­neurs d’as­sur­ance, les ban­ques, les parte­naires logi­ciels (Sobra­do, bro­ker­busi­ness, ch, one Bro­ker, 3C Por­tail de prévoy­ance), les four­nisseurs de logi­ciels tiers (pro­grammes de compt­abil­ité, télé­phonie, messagerie).

    Dans le cas d’une solu­tion de courtage numérique, il ne suf­fit pas de créer un pro­gramme qui ne peut que repro­duire les don­nées des clients, des polices et des sin­istres. Il faut de la coor­di­na­tion et beau­coup de tra­vail de développe­ment en com­mun avec les autres acteurs. Et enfin, tout doit être testé sous toutes les cou­tures. Et pour­tant, avec le grand nom­bre d’ac­teurs, il y a tou­jours des cas qui n’ont pas été pen­sés et pris en compte, ou des change­ments de dernière minute. La numéri­sa­tion est donc un proces­sus dynamique et non la mise en place de con­nex­ions statiques.

    rStar by WMC est le logi­ciel de courtage qui prend en charge la plu­part des proces­sus clés et souligne ain­si le lead­er­ship numérique. (Selon la pub­li­ca­tion d’IG B2B du 24.03.2022)

    WMC joue ici un rôle de pio­nnier en ce sens que la col­lab­o­ra­tion inten­sive avec les autres acteurs prend une grande part dans l’ensem­ble des développe­ments. La prox­im­ité avec ces parte­naires est un engage­ment à créer des proces­sus sans rup­ture de média pour le courtier.

    Courtage en assur­ance numérique
    par Bro­ker­Star

    Bro­ker­Star offre une numéri­sa­tion de bout en bout
    à tra­vers les pro­grammes et les organ­i­sa­tions
    afin de per­me­t­tre à toutes les per­son­nes con­cernées de tra­vailler dans le futur.

    Bro­ker­Star tient compte des normes en vigueur
    ain­si que les con­di­tions du marché et les besoins des clients.

    Le nouveau BrokerStar

    Une nou­velle ère commence

    Bro­ker­Star, la solu­tion du courtier de démar­rage au courtier d’entreprise.

    Nou­veau Bro­ker­Star V‑3

    • Nou­veau design plus cohérent
    • de nom­breuses nou­velles fonctions
    • les champs non rem­plis ne sont pas affichés
    • Inté­gra­trice supérieure de Sobrado
    • un décompte de primes plus détaillé
    • nou­veau sys­tème d’autorisation
    • Amélio­ra­tion du sys­tème de commissions
    • Out­il de prévision
    • Amélio­ra­tion des performances
    • con­forme à la nDSG de bout en bout

     

    Points forts

    • Sécu­rité et pro­tec­tion des don­nées maximales
    • nou­veau por­tail client
    • envoi de mail sécurisé
    • Syn­chro­ni­sa­tion du cour­ri­er et téléphonie
    • Inté­gra­tion de Sobrado
    • Capac­ité de mandant
    • Amélio­ra­tions du reporting
    • Mem­bre d’IG B2B et de la SIBA
    • Par­tic­i­pa­tion dans Eco­Hub AG
     
    Bro­ker­Star light
     
    • La solu­tion de base simple 
    • con­tient toutes les fonc­tions de base de BrokerStar
    • des prix for­faitaires avantageux
    • Mise à niveau vers la ver­sion stan­dard pos­si­ble à tout moment
    • Lim­i­ta­tion : pas d’op­tions supplémentaires
    • mod­èle de sup­port fixe

              cli­quer pour voir les différences

    Des mod­ules passionnants

    Mod­ules com­plé­men­taires à BrokerStar

    Échange sécurisé avec Bro­ker­Web

    Le por­tail client Bro­ker­Web per­met l’échange d’in­for­ma­tions, de doc­u­ments et de don­nées entre le courtier et le client, comme c’est le cas pour l’e-bank­ing. La trans­mis­sion s’ef­fectue via une con­nex­ion pro­tégée qui ne per­met pas d’ac­cès de l’ex­térieur.  
    sur Bro­ker­Web

    Éval­u­a­tions intelligentes

    Le terme Report­ing englobe tous les types d’é­val­u­a­tions, qu’il s’agisse de listes ou de graphiques, et quel que soit leur for­mat. Dans l’ar­ti­cle suiv­ant, nous expliquons com­ment le sys­tème de report­ing est struc­turé dans Bro­ker­Star. 
    sur le reporting

    Télé­phon­er avec Bro­ker­Star

    Il ne suf­fit pas de com­pos­er un numéro de télé­phone dans le pro­gramme pour créer automa­tique­ment la con­nex­ion. En cas d’ap­pel entrant, le sys­tème recon­naît égale­ment un numéro enreg­istré et ouvre automa­tique­ment une nou­velle fenêtre client. Pour l’in­stant, cette solu­tion fonc­tionne exclu­sive­ment avec le sys­tème télé­phonique 3CX, très répan­du. Son faible coût fait de cette option utile un point fort. 
    à télé­phon­er

    Envoi automa­tique de factures

    Depuis 2025, seules les normes IG B2B 5.2 et 5.4 sont encore val­ables. Les XML doivent impéra­tive­ment con­tenir le PDF de la fac­ture. Après con­trôle, celui-ci peut être tam­pon­né élec­tron­ique­ment et trans­mis automa­tique­ment. Les fac­tures créées par le courtier sont égale­ment enreg­istrées automa­tique­ment et envoyées automa­tique­ment par e‑mail, via le por­tail client ou par cour­ri­er.
    sur le proces­sus de facturation

    Processus sans rupture de médias

    De nou­veaux mots-clés sus­ci­tent sou­vent de la con­fu­sion. Qu’est-ce que la dig­i­tal­i­sa­tion, quels sont les proces­sus sans rup­ture de médias ?

    Il s’ag­it sim­ple­ment du fait que les don­nées ne doivent être saisies qu’une seule fois et qu’elles peu­vent égale­ment être échangées entre dif­férents pro­grammes ain­si qu’en­tre dif­férentes organ­i­sa­tions. Pourquoi devrais-je par exem­ple saisir le numéro de télé­phone d’un client dans la ges­tion des adress­es, dans l’an­nu­aire télé­phonique, dans Out­look et peut-être même dans le pro­gramme de comptabilité ?

    Mal­heureuse­ment, les dif­férentes tech­nolo­gies des pro­grammes indi­vidu­els et les struc­tures de don­nées dif­férentes entra­vent le flux de don­nées. Ce qui est pos­si­ble aujour­d’hui dans la banque en ligne, à savoir effectuer un vire­ment de n’im­porte quel compte vers un autre compte, en est encore à ses bal­bu­tiements dans le monde de l’assurance.

    C’est pourquoi WMC pour­suit pré­cisé­ment cette vision, à savoir sur­mon­ter tous les obsta­cles et soutenir au mieux le courtier dans son tra­vail quo­ti­di­en. La chaîne avec ses nom­breux sous-proces­sus dans et autour de Bro­ker­Star englobe non seule­ment l’échange avec les com­pag­nies d’as­sur­ance et les clients, mais aus­si l’in­té­gra­tion des travaux internes du courtier.

    Courtage en assur­ance numérique
    par Bro­ker­Star

    Bro­ker­Star offre une numéri­sa­tion de bout en bout
    à tra­vers les pro­grammes et les organ­i­sa­tions
    afin de per­me­t­tre à toutes les per­son­nes con­cernées de tra­vailler dans le futur.

    Bro­ker­Star tient compte des normes en vigueur
    ain­si que les con­di­tions du marché et les besoins des clients.

    Pour plus d’in­for­ma­tions sur les proces­sus numériques :

    Envoi de courrier sécurisé

    Brief­But­ler — la solu­tion duale

    Envoi de cour­ri­er sécurisé
    L’u­til­i­sa­tion du logi­ciel Brief­But­ler vous offre, out­re l’en­voi sécurisé de polices, de fac­tures, de bul­letins de salaire, d’in­vi­ta­tions ou de cour­ri­er jour­nalier, de nom­breuses autres options vous per­me­t­tant de met­tre en place un proces­sus d’en­voi encore plus effi­cace et sim­ple et de l’adapter par­faite­ment à vos des­ti­nataires. Brief­But­ler est con­forme à la pro­tec­tion des don­nées et est bien plus qu’un sim­ple SecureMail.

    Solu­tion duale

    Dual sig­ni­fie deux fois ou deux pos­si­bil­ités. Et c’est exacte­ment ce que pro­pose Brief­But­ler. Les mes­sages et les doc­u­ments peu­vent être envoyés par voie élec­tron­ique via une voie sécurisée ou par la poste via des prestataires de ser­vices d’im­pres­sion et d’ex­pédi­tion suisses.

    Envoi élec­tron­ique

    Envoi numérique rapi­de — con­forme à la pro­tec­tion des don­nées — 365 jours / 24 heures. Code de con­nex­ion sécurisé pour les des­ti­nataires par e‑mail ou SMS. Traça­bil­ité de l’en­voi et de l’ou­ver­ture. Pas de frais d’abon­nement. Meilleur prix du marché pour la mes­sagerie sécurisée (Secure­Mail).

    Envoi par cour­ri­er postal

    Vous avez des des­ti­nataires qui ne souhait­ent pas recevoir de cour­ri­er élec­tron­ique ? Pas de prob­lème. Vous pou­vez trans­met­tre le message/les doc­u­ments au cen­tre de traite­ment du cour­ri­er. Celui-ci se charge de l’im­pres­sion, de la mise sous enveloppe et de l’envoi.

          Ser­vice inclus!

    • Envoi de doc­u­ments et de messages 
    • Con­forme à la pro­tec­tion des don­nées selon la nDSG / DSVGO
    • cer­ti­fié selon ISO 9001, 14001, 27001
    • Envoi depuis Bro­ker­Star, iOffice
    • Envoi depuis Word et Outlook
    • Inter­face API avec d’autres programmes
    • Envoi au choix par voie élec­tron­ique ou postale
    • Niveau de sécu­rité au choix
    • Sig­na­ture en option
    • Coût à par­tir de CHF 0.41 par envoi
    • Fac­tura­tion unique­ment après l’en­voi effectif
    • Le prix le plus bas du marché

    Messages contenant des données personnelles

    Envoy­er de don­nées per­son­nelles par e‑mail

    Les e‑mails font aujour­d’hui par­tie du quo­ti­di­en. Beau­coup con­ti­en­nent des don­nées per­son­nelles, sou­vent même des don­nées sen­si­bles. En règle générale, les e‑mails sont trans­mis non cryp­tés. L’en­voi non cryp­té d’un e‑mail est toute­fois moins sûr que l’en­voi d’une carte postale, parce que.. :

    • les cour­riels peu­vent être inter­cep­tés, lus ou mod­i­fiés avec des con­nais­sances tech­niques limitées ;
    • les e‑mails peu­vent être facile­ment recher­chés à l’aide de mots-clés
    • les four­nisseurs d’ac­cès à Inter­net basés en Suisse sont tenus de con­serv­er les e‑mails pen­dant six mois et de les com­mu­ni­quer aux autorités si nécessaire.

    dis­po­si­tions de la loi sur la pro­tec­tion des don­nées (nDSG).

    Il est impor­tant de savoir s’il s’ag­it de don­nées per­son­nelles “ordi­naires”, de don­nées per­son­nelles sen­si­bles ou de pro­fils de la per­son­nal­ité. L’ex­pédi­teur est respon­s­able du traite­ment des don­nées per­son­nelles con­for­mé­ment à la pro­tec­tion des don­nées et du respect des dis­po­si­tions rel­a­tives à la pro­tec­tion des don­nées et doit en apporter la preuve. Il est tenu de pren­dre toutes les mesures néces­saires pour pro­téger les don­nées con­tre la perte, le vol et la prise de con­nais­sance ou le traite­ment non autorisé. Lors de l’en­voi de don­nées per­son­nelles dans des domaines sen­si­bles tels que la san­té, il s’ag­it dans tous les cas de don­nées per­son­nelles sen­si­bles, car le sim­ple fait qu’une per­son­ne soit client(e)/patient(e) auprès du ser­vice con­cerné est par­ti­c­ulière­ment digne de protection.

    Les principes suiv­ants s’ap­pliquent à l’u­til­i­sa­tion du cour­ri­er électronique

    • Utilis­er le moins de don­nées per­son­nelles pos­si­ble. (économie de données).
    • Le respon­s­able du traite­ment des don­nées est respon­s­able du traite­ment con­forme à la loi, au but et à la pro­por­tion­nal­ité (p. ex. autori­sa­tion d’ac­cès, mise à jour ou effacement).

    Étant don­né que les erreurs d’a­chem­ine­ment des e‑mails représen­tent un risque con­sid­érable, les adress­es doivent être choisies avec soin. Il con­vient d’éviter autant que pos­si­ble les automa­tismes ou les fonc­tions de “con­fort”.

    • Aucune don­née ou pro­fil per­son­nel sen­si­ble ne doit être traité ou enreg­istré sur des appareils privés.
    • Tout ce qui est tech­nique­ment pos­si­ble n’est pas for­cé­ment autorisé.
    • Les e‑mails ne doivent pas con­tenir d’in­for­ma­tions sur les mots de passe, les comptes, les cartes de crédit ou d’autres don­nées d’ac­cès telles que les iden­ti­fi­ants d’utilisateur.
    • Il ne faut pas dis­pers­er de grandes quan­tités de données.
    • Ne sélec­tion­ner et n’u­tilis­er que des dis­trib­u­teurs connus

    Les e‑mails des per­son­nes con­cernées sont générale­ment autorisés. Si vous recevez un e‑mail d’une per­son­ne, vous pou­vez compter sur son con­sen­te­ment tacite et répon­dre égale­ment par e‑mail. Les répons­es qui con­ti­en­nent des don­nées per­son­nelles sen­si­bles con­stituent une excep­tion. Dans ce cas, il est recom­mandé de procéder à un cryptage ou autre.

    Alter­na­tives aux e‑mails non cryptés

    • Stock­age sur un serveur de don­nées, par exem­ple Bro­ker­Web ou Brief­But­ler (par un lien dans le message).
    • Cryptage au niveau des documents
    • Util­i­sa­tion d’un ser­vice de mes­sagerie cryp­té, par exem­ple Seppmail

    Veuillez not­er que l’u­til­i­sa­tion des médias soci­aux et des mes­sageries instan­ta­nées, par ex. What­sapp ou SMS pour la trans­mis­sion de don­nées per­son­nelles doit être évitée. Il est recom­mandé d’u­tilis­er la voie postale, en par­ti­c­uli­er pour les don­nées très sensibles.

    Échange sécurisé avec BrokerWeb

     

    Le por­tail client Bro­ker­Web per­met l’échange d’in­for­ma­tions, de doc­u­ments et de don­nées entre le courtier et le client, comme c’est le cas pour l’e-bank­ing. La trans­mis­sion s’ef­fectue via une con­nex­ion pro­tégée qui ne per­met pas d’ac­cès de l’extérieur.

    Syn­chro­ni­sa­tion du cour­ri­er avec BrokerStar

     

    Le mod­ule Mail-Sync de Bro­ker­Star con­tient deux fonc­tions qui fonc­tion­nent avec Out­look et d’autres pro­grammes de mes­sagerie comme par exem­ple GMail.

    L’ Syn­chro­ni­sa­tion des e‑mails per­met d’en­voy­er et de recevoir des e‑mails depuis Bro­ker­Star. Les mes­sages sont alors enreg­istrés dans Bro­ker­Star et dans le pro­gramme de mes­sagerie. L’ Syn­chro­ni­sa­tion des ren­dez-vous syn­chro­nise les ren­dez-vous, les tâch­es et les adress­es de Bro­ker­Star dans le pro­gramme de messagerie.

    Envoi de cour­ri­er avec BriefButler 

    Brief­But­ler est un logi­ciel de ser­vice qui livre des doc­u­ments de Bro­ker­Star, Word et d’autres pro­grammes sans les imprimer, au choix via un por­tail pro­tégé ou par cour­ri­er postal au des­ti­nataire. Celui-ci n’a pas besoin d’un logi­ciel séparé pour le décryptage. Con­forme à la pro­tec­tion des don­nées et avan­tageux par envoi à par­tir de CHF 0.41.

    BrokerStar et SIBA

    Récem­ment, la SIBA a décidé d’ou­vrir le cer­cle de ses mem­bres à des secteurs appar­en­tés. WMC IT Solu­tions se réjouit de trans­former cette col­lab­o­ra­tion jusqu’i­ci informelle en un statut offi­ciel.

    WMC sou­tien­dra les objec­tifs de la SIBA en matière de qual­ité élevée des ser­vices de courtage et facilit­era le tra­vail des courtiers avec des chaînes de proces­sus numériques. 

    WMC est déjà mem­bre d’IG B2B depuis la pre­mière heure et est le seul fab­ri­cant de logi­ciels action­naire d’E­co­Hub AG. Cela implique l’en­gage­ment non seule­ment de met­tre en œuvre toutes les normes disponibles dès le début, mais aus­si de faire avancer la numéri­sa­tion dans le secteur de l’assurance.

    Mes­sage de bien­v­enue
    Samuel Knoepfel,
    Directeur général de SIBA

    Le courtier de l’avenir

    Le marché de l’as­sur­ance va con­naître des change­ments mas­sifs dans les années à venir. Marin Vlasec de la Pax a présen­té dans son exposé au Forum des courtiers en assur­ances 2022 les exi­gences aux­quelles devra répon­dre le courtier du futur. Il existe aujour­d’hui un guide que WMC met à la dis­po­si­tion de tous les courtiers intéressés, avec l’aimable autori­sa­tion de la Pax.

    Créer une valeur numérique pour le client
    Le courtier en assur­ances est sous pres­sion en rai­son des change­ments tech­niques et de la con­cen­tra­tion dans le secteur. Les petits courtiers indépen­dants peu­vent-ils s’af­firmer face à une con­cur­rence de plus en plus impor­tante? Le suc­cès du futur courtier dépend-il de ses com­pé­tences numériques?

    1. La sit­u­a­tion actuelle

    Le paysage des courtiers est mar­qué par deux évo­lu­tions. D’une part, les grandes entre­pris­es de courtage rachè­tent les plus petites. Cela réduit les pos­si­bil­ités des petits et moyens courtiers sur le marché. La pres­sion sur eux aug­mente. D’autre part, la numéri­sa­tion a un impact sur les offres et les voies d’ac­cès aux clients pro­fes­sion­nels et privés. Qu’est-ce que cela sig­ni­fie pour l’avenir des petits groupes. La numéri­sa­tion peut représen­ter un con­flit d’ob­jec­tifs — car elle mod­i­fie égale­ment les besoins des clients et la manière dont ils s’in­for­ment sur les offres. L’u­til­i­sa­tion de moyens d’ac­cès numériques pour­rait par exem­ple entraîn­er le risque d’une diminu­tion du con­tact per­son­nel avec les clients. Ils s’in­for­ment déjà plus inten­sive­ment sur Inter­net et les médias soci­aux qu’il y a quelques années.

    2. Ser­vices de base d’un courtier en assurances

    Les ser­vices de base d’un courtier en assur­ances peu­vent se situer dans les domaines du con­seil, de l’ad­min­is­tra­tion et du sup­port, de la ges­tion des risques et des com­para­isons. Grâce à ces ser­vices de base, le courtier en assur­ances crée une valeur ajoutée con­crète pour les pre­neurs d’as­sur­ance. Il s’ag­it d’une sim­pli­fi­ca­tion des ser­vices et des tâch­es, comme l’a mon­tré le tra­vail de recherche sur la mesure de la valeur du client.

    • Con­seil: Analy­ses de cou­ver­ture et con­cepts, recom­man­da­tions en matière de sécu­rité.
    • Admin­is­tra­tion & sup­port:  Claims-Man­age­ment,  réponse aux deman­des et partage d’in­for­ma­tions.
    • Ges­tion des risques: Iden­ti­fi­ca­tion et éval­u­a­tion des risques.
    • Com­para­isons:  Com­par­er les prix et les presta­tions, présen­ter les vari­antes de couverture.

    3. Créa­tion de valeur numérique pour le client

    Les études mon­trent que : Il existe ce que l’on appelle un écart de disponi­bil­ité chez les clients pour obtenir des offres numériques. Cela sig­ni­fie que les ser­vices qui peu­vent être util­isés sans grand effort sous forme numérique génèrent une valeur client égale ou supérieure à celle d’un dia­logue analogique. Cet écart est plus ou moins pronon­cé selon qu’il s’ag­it de clients privés ou d’entreprises.

    La dis­po­si­tion à la numéri­sa­tion existe aus­si bien chez les clients privés que chez les entre­pris­es. Les clients privés sont toute­fois plus enclins à obtenir des ser­vices par le biais de chats, d’ap­pli­ca­tions et de plate­formes web que les entre­pris­es. Ces derniers sont moins dis­posés à être con­seil­lés via des moyens d’ac­cès numériques, car les offres des­tinées aux entre­pris­es sont com­plex­es et néces­si­tent beau­coup de con­seils. La rela­tion directe avec le client pen­dant le con­seil reste donc très importante.

    Chez les clients privés, il y a générale­ment un sain mélange des âges : les per­son­nes plus âgées sont moins enclines à se numéris­er. Celui qui est act­if dans le seg­ment de la clien­tèle privée ne doit donc pas crain­dre que ses clients soient exclu­sive­ment des util­isa­teurs ultra-com­pé­tents en matière de numérique.

    Dans le domaine de l’ad­min­is­tra­tion et de l’as­sis­tance les clients privés sont égale­ment plus enclins à obtenir le ser­vice via des voies d’ac­cès numériques. La dif­fu­sion d’in­for­ma­tions via une plate-forme numérique est avan­tageuse, car les pre­neurs d’as­sur­ance peu­vent gag­n­er du temps. Cela cor­re­spond à une valeur ajoutée — tout comme l’étab­lisse­ment com­para­isons. Cela peut par exem­ple se faire rapi­de­ment et effi­cace­ment via un out­il numérique comme Sobra­do en com­bi­nai­son avec un logi­ciel de courtage appro­prié. Pour les déc­la­ra­tions de masse salar­i­ale et les muta­tions stan­dard­is­ées, l’u­til­i­sa­tion de canaux d’ac­cès numériques s’est toute­fois avérée judi­cieuse pour les entre­pris­es clientes, car elle per­met d’é­conomiser du temps et de l’argent.

    Con­seil reste un domaine où la numéri­sa­tion est peu per­ti­nente. Les études ont mon­tré, d’une part, que la fidéli­sa­tion de la clien­tèle est très impor­tante et qu’elle a une valeur sig­ni­fica­tive dès le départ : Cela sig­ni­fie qu’elle ne se développe pas avec le temps mais qu’elle est per­ti­nente dès le pre­mier entre­tien avec le client. L’en­tre­tien direct reste extrême­ment impor­tant, car l’in­ter­ac­tion per­met de trans­met­tre la con­fi­ance avec plus de force.

    La con­fi­ance est égale­ment extrême­ment impor­tante pour l’é­val­u­a­tion des risques : c’est pourquoi il vaut la peine de miser en pre­mier lieu sur le con­tact analogique pour les deux types de clients dans le cadre Ges­tion des risques .

    4. Résumé : où miser sur la numéri­sa­tion - et où ne pas le faire

    Pour les clients privés: Le courtier en assur­ances sera à l’avenir un four­nisseur de plate­formes avec un accès sélec­tif, con­trôlé par le client, à un con­seil per­son­nal­isé. Le client final doit pou­voir choisir le mode d’ac­cès numérique au con­seil. Celui-ci devrait avoir lieu en pre­mier lieu dans une sit­u­a­tion de face-à-face. Cela per­met d’in­stau­r­er la con­fi­ance. Le con­seil ne doit toute­fois pas néces­saire­ment se faire de manière analogique. Il est pos­si­ble de recourir à des logi­ciels qui le per­me­t­tent dans l’e­space numérique.

    Pour les clients d’en­tre­prise: Le courtier en assur­ances est un résolveur de prob­lèmes et devrait pro­pos­er des ser­vices forte­ment indi­vid­u­al­isés dans les domaines du Con­seil et Risk-Man­age­ment . Des rap­ports intel­li­gents le sou­ti­en­nent dans cette tâche. Pour Admin­is­tra­tion et com­para­isons il peut recourir à des out­ils numériques et créer ain­si effi­cace­ment de la valeur pour les entre­pris­es clientes.

     

    Sources : Pax Assur­ances, 2022 ; The Bro­ker 2022